ÉNERGIE

  Le virage de la transition énergétique amorcé au Québec est tellement vaste et tellement rapide que la plupart des partenaires sociaux, politiques et, même, économiques, estiment qu’il faut élargir les lieux de débats.

  Si la filière batterie suscite beaucoup d’enthousiasme dans la région, certains citoyens font des mises en garde.

Les Laboratoires nucléaires canadiens ou LNC qui amorceront de façon concrète vers 2029 le démantèlement de la centrale nucléaire Gentilly-1 ont fourni plus de détails sur cette opération.

  C’est sans surprise que le Règlement de contrôle intérimaire (ou RCI) contenant deux nouveaux libellés sur le projet d’éoliennes a été adopté HIER lors de la séance du conseil des maires de la MRC Nicolet-Yamaska.

La MRC de Nicolet-Yamaska doit apporter des modifications à son règlement de contrôle intérimaire sur l’implantation d’éoliennes sur son territoire.

  La préfète de la MRC de Nicolet-Yamaska, Geneviève Dubois, a levé le voile vendredi sur le mécanisme de consultation qui sera mis en branle pour favoriser les échanges sur le dossier controversé des éoliennes.

Une certaine ambiguïté subsiste au sujet de la place que pourrait occuper la centrale Gentilly-2 dans la stratégie d’Hydro-Québec pour faire face au défi que représente la pénurie d’électricité à l’horizon.

  La séance du conseil des maires de la MRC de Nicolet-Yamaska, qui se tenait devant une quarantaine de personnes mercredi soir à Saint-Wenceslas, a mis plus que jamais en évidence la méfiance des opposants aux éoliennes envers leurs élus.

Un comité regroupant des élus ou ex-élus municipaux qui s’opposent ou qui remettent en question le développement éolien en milieu habité ou agricole publie vendredi la première d’une série de lettres ouvertes.

  Le député de Nicolet-Bécancour, Donald Martel, demande aux citoyens opposés au développement éolien dans la région de faire preuve d’ouverture d’esprit.