énergie
Le député de Nicolet-Bécancour, Donald Martel, demande aux citoyens opposés au développement éolien dans la région de faire preuve d’ouverture d’esprit.
Les dix institutions d’enseignement de la région s’unissent dans le but de mieux répondre aux besoins de main-d’œuvre découlant de la venue de la nouvelle zone d’innovation dédiée à la transition énergétique.
L’union des municipalités du Québec (UMQ) arrive en renfort dans le controversé dossier des éoliennes dans le Centre-du-Québec.
La MRC de Nicolet-Yamaska, à qui des citoyens ont reproché d’aller trop vite dans le dossier éolien, lève le pied de l’accélérateur.
Des citoyens inquiets sont venus lancer mercredi aux maires de la MRC de Nicolet-Yamaska un message clair : il faut prendre le temps qu’il faut avant d’embarquer dans des projets éoliens.
Deux conseillères municipales et deux producteurs agricoles de Saint-Zéphirin-de-Courval ont profité de la séance du conseil des maires de la MRC de Nicolet-Yamaska, mercredi soir, pour faire part de leurs craintes vis-à-vis les projets éoliens.
Le député de Nicolet-Bécancour, Donald Martel, est allé lundi s’enquérir en personne des défis qui se posent à l’Aluminerie de Bécancour, dont l’avenir est tributaire de sa modernisation.
La MRC de Nicolet-Yamaska souhaite participer à des projets de production d’énergie renouvelable répondant aux besoins exprimés par Hydro-Québec. Les élus veulent obtenir leur part des retombées de tout projet qui viendrait à voir le jour sur leur territoire.